Le très attendu rapport sur la relativité salariale a été livré par le National Wage Consultative Council (NWCC) au ministre du Travail, Soodesh Callichurn, mais n’a pas encore atteint le stade du Conseil des ministres.
Publicité
«Il y a encore certains points à peaufiner, car il y a un aspect technique à résoudre. Puis, au niveau du ministère des Finances, ils sont en train de mesure l’impact financier en général des propositions formulées dans le rapport. Dans le cours de cet exercice, il faut aussi consulter différents ministères et parties prenantes », confie un proche du dossier.
S’il est plus ou moins sûr que le rapport sera présenté par le ministre du Travail, Soodesh Callichurn, au Conseil des ministres pour adoption avant la dissolution du Parlement dans le cadre des élections générales, aucun délai n’a été fixé.
L’essence première de ce rapport réside dans la correction des anomalies occasionnées par l’élévation du salaire minimum, décrétée à la fin de janvier. Cette augmentation a propulsé le salaire minimum de Rs 11 575 à Rs 16 500. Cependant, avec l’apport d’une allocation gouvernementale, le revenu minimum garanti pour ceux occupant des postes au plus bas de l’échelle atteint Rs 18 500. Cette montée significative a désavantagé ceux qui percevaient déjà un salaire proche de cette somme ou légèrement supérieur, car ils ont été rattrapés par ceux touchant le salaire minimum créant ainsi une certaine injustice.
Sous la direction de Bijaye Kumar Appanah, président du NWCC, l’objectif est de rectifier le déséquilibre induit par cette élévation du salaire minimum, et du revenu minimum garanti.
À noter que le réajustement ne concerne pas l’ensemble des travailleurs. « Ceux qui sont surtout concernés touchent un salaire de base de moins de Rs 30 000 », confie une source bien placée au ministère du Travail.
Un second volet concerne la question d’alignement des salaires en prenant en considération les corps de métier. Cette fois-ci, l’enjeu est de procéder à ce que les intervenants désignent comme le « grading ».
Il s’agit ici d’harmoniser les salaires par corps de métier en établissant des échelles salariales équitables pour chaque profession. Actuellement, dans le secteur privé, le National Remuneration Board révise les Remuneration Orders (RO) pour 30 secteurs à des intervalles irréguliers, sur demande du ministre du Travail. Ainsi, à l’heure actuelle, divers métiers (chauffeur, électricien, secrétaire, réceptionniste ou encore cleaner, pour n’en citer que quelques-uns), peuvent afficher des salaires radicalement différents d’un secteur à un autre. Cette disparité se manifeste également dans d’autres domaines professionnels. L’objectif ultime de cet exercice est d’établir des barèmes salariaux uniformes pour chaque profession, indépendamment du secteur d’activité.
Conformément à la législation interdisant la réduction d’un salaire de base, les ajustements seront opérés en se basant logiquement sur le secteur bénéficiant du RO le plus avantageux. La finalisation de ce rapport est prévue dans un avenir très proche.
Beaucoup de réponses sont apportées par cet article proposé par remunerations.fr qui traite du sujet « Rémunérations ». Ce post a été généré de la façon la plus complète qui soit. Vous pouvez écrire en utilisant les coordonnées indiquées sur notre site dans le but d’apporter des explications sur ce post qui parle du thème « Rémunérations ». Le site remunerations.fr a pour objectif de publier différentes publications autour du thème Rémunérations diffusées sur la toile. Sous peu, on rendra accessibles à tout le monde d’autres informations pertinentes sur le sujet « Rémunérations ». Par voie de conséquence, visitez de manière régulière notre blog.